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Compte Rendu de la réunion
du 28 février 2012 |
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à La Bohalle chez Fabrice
Présents : Stéphane Bonnaud, Dominique Defaye, Sylvie Floris, Samuelle Gaborit, Cécile et Fabrice Ignazi, Cécile Moron, Evelyne Taunay, Elisabeth et Frédéric Tijou, Héloïse 1. Présentations : a) Cécile nous présente un jeu de cartes qui s’appelle « DOBBLE ». (Utilisation en cycle 1 possible)Ce sont des cartes rondes avec des graphismes différents et de différentes tailles. Il faut trouver les graphismes identiques pour les 2 cartes présentées. Prix :12,50€ (SADEL) – éditeur Asmodée (anciennement Play factory). b) Stéphane nous présente un jeu de cartes (cycle 3) qui s’appelle « il était une fois ». Jeu utilisé en tant que déclencheur d’écrit. Prix : 20€ - éditeur : Play factory. 2. Infos : 2.1. Point financier. 2.2. Point sur l’organisation de la journée de stage du mercredi 25 avril 2012. (Affiches, nombre d’inscrits : 16 à ce jour,…). On pourrait s’appuyer sur un article paru dans le dernier numéro du Nouvel Educateur pour l’organiser. La prochaine réunion du mois de mars sera consacrée en grande partie au déroulé précis de cette journée et des contenus. 2.3. Point sur l’organisation des réunions : fréquence (remise en cause de la réunion de février ? thèmes et contenus, animation et déroulement. En résumé, il serait bien d’être plus rigoureux et plus précis. Le groupe des participants se sépare ensuite en 2 groupes de travail : 1er groupe : cycle 1 et 2. 2ème groupe : cycle 3. 3. Thème de travail pour le 1er groupe : cycle 1 et 2. : « Graphisme et écriture ». Pour commencer, Cécile I.nous propose une réflexion qu’elle a lue : Selon une étude, les enfants qui ne forment pas les lettres dans le « bon sens » sont (souvent) en échec scolaire… Plusieurs questions sont posées : Est-ce que pour nous le geste graphique est important ? Faut-il « se battre » pour que l’enfant forme absolument ses lettres dans le bon sens ? Quand doit-on faire commencer à écrire en écriture cursive ? Plusieurs réflexions ou témoignages de pratiques sont également posés : Il faut donner du sens à l’écriture pour que l’enfant forme les lettres dans le bon sens. Il faut assurer une continuité entre la maternelle et le C.P. - J’essaie de les accompagner individuellement dans l’apprentissage de l’écriture (Cécile M. rappelle le tableau « guide oral d’écriture des lettres cursives minuscules » réalisé par les collègues de maternelle et C.P. de Montreuil-Juigné). La liaison maternelle – C.P. (notamment au niveau de l’écriture) est incontournable. (Dominique) La progression est : d’abord écrire en capitales d’imprimerie et ensuite (quand l’enfant est prêt) en écriture cursive. Dominique propose un tableau intitulé « Evolution de l’acte graphique chez l’enfant de 1an et demi à 7 ans ». Rappel des instructions officielles : « Sans qu’on doive réduire l’activité graphique à la préparation de l’écriture, les enfants observent et reproduisent quotidiennement des motifs graphiques afin d’acquérir le geste le mieux adapté et le plus efficace. L’entrée dans l’écriture s’appuie sur les compétences développées par les activités graphiques (enchaînements de lignes simples, courbes, continues…), mais requiert aussi des compétences particulières de perception des caractéristiques des lettres. L’’écriture cursive est proposée à tous les enfants, en grande section, dès qu’ils en sont capables ; elle fait l’objet d’un enseignement guidé afin que ces premières habitudes installées favorisent la qualité des tracés et l’aisance du geste. » « A la fin de l’école maternelle, l’enfant est capable de : -reconnaître et écrire la plupart des lettres de l’alphabet ; -copier en écriture cursive, sous la conduite de l’enseignant, de petits mots simples dont les correspondances en lettres et sons ont été étudiées ; -écrire en écriture cursive son prénom. » Ils apprennent directement à écrire en écriture cursive : dans la semoule, avec des lettres rugueuses, sur des grands tableaux lignés (avec la craie),… (Héloïse) Il est important d’utiliser les vrais mots, les bons termes pour aider l’enfant à former les lettre : un trait horizontal, vertical, oblique (et nos pas un bâton tout droit, couché, penché, etc…), un accent circonflexe (et non pas un chapeau chinois ( !)). Le fait d’individualiser le suivi de l’écriture est très important, essentiel ! Il est important de faire varier les outils d’écriture et les supports. On peut concrétiser le sens des lettres avec des cordelettes pour montrer le croisement effectif des traits (quand un trait passe par-dessus un autre). (Fabrice) Il faut faire verbaliser les gestes de l’écriture. L’Enseignant ne doit pas également hésiter à écrire devant les enfants pour qu’ils voient comment l’Enseignant procède. Expression à la mode des Conseillers Pédagogiques et autres Inspecteurs : « il faut donner à voir !!! »… L’écriture de la lettre pour les Correspondants peut se faire en plusieurs phases : 1°) écrire les mots essentiels au tableau 2°) écrire les phrases au tableau en écriture cursive 3°) rédiger la lettre finale sur une grande feuille en écriture scripte et majuscule d’imprimerie. + Lettre tapée avec l’ordinateur. Pour terminer le débat, quelques questions, réflexions… Pour qui on écrit ? Pourquoi on écrit ? Si on veut que l’autre arrive à lire, il faut « bien écrire ». Le rapporteur :
Dominique Defaye mardi 13 mars 2012 à l'école des Turbaidières à Cholet ( attente de la réponse de Sylvie) ou à Coutures (chez Samuelle et Héloïse) préparation du stage "Démarrer" |